La campagne de vaccination est en cours en France depuis plusieurs mois face au COVID. Dans un premier temps, les doses de vaccin sont réservées aux personnes vulnérables pour s’étendre au fur et à mesure à toute la population. Les jeunes comme les adolescents doivent aussi se faire vacciner avec deux injections afin de limiter les risques de propagation du virus. Ces mesures de protection de la santé sont particulièrement importantes. Quelles sont les informations importantes à retenir concernant le vaccin chez les jeunes en France ? Quelles sont les conditions pour obtenir la vaccination des 12 – 17 ans en France ?
Le vaccin chez les jeunes adolescents : une solution de santé face au COVID
Les vagues de contamination face au virus s’enchaînent en France et partout dans le monde. Pour limiter la propagation de la maladie et particulièrement les formes graves, il est indispensable de suivre les avancées sanitaires. La vaccination pour l’ensemble de la population est un choix important en matière de santé. Celui-ci concerne aussi les plus jeunes allant de 12 à 17 ans.
En effet, les foyers de contamination sont nombreux chez les adolescents et les formes graves peuvent aussi être présentes chez certains sujets. Dans un premier temps, les jeunes sont en contact direct à l’école où les risques sont nombreux. Ensuite, ils peuvent échanger le virus du COVID entre eux lorsqu’ils se voient à l’extérieur ou en intérieur. Le lien social reste indispensable aux adolescents. C’est aussi le cas lors des activités sportives en intérieur ou en extérieur. Ils doivent de façon logique et nécessaire exercer une activité sportive pour leur bien-être. Ainsi, la protection de leur santé et la limitation des risques sont deux choses primordiales. Il faut alors mettre en place une campagne de vaccination avec la réalisation d’une ou de deux injections.
Quelles sont les conditions pour une vaccination chez les jeunes ?
Pour lutter contre la propagation du virus et limiter les risques, il est fortement recommandé d’être vacciné contre le COVID pour protéger sa santé et celle des autres. En effet, le vaccin permet de limiter la présence du virus, de limiter les risques en évitant les formes graves. Chez les adolescents, la vaccination est autorisée de 12 à 17 ans inclus depuis le 15 juin 2021. Ces mineurs peuvent recevoir deux injections de la part du vaccin Pfizer ou Moderna. Ces derniers sont autorisés par l’agence européenne des médicaments (EMA) pour limiter les risques comme le précise Distrihealth.
Pour recevoir l’injection en France, l’adolescent concerné doit avoir au moins l’accord d’un des deux parents ou de son responsable légal. Pour cela, il est indispensable de télécharger une attestation sur le site du ministère de la Santé et de la remplir afin de donner son accord. Toutefois, cette autorisation concernant sa santé n’est pas nécessaire pour les mineurs de plus de 16 ans. Ces derniers peuvent alors prendre seuls la décision de recevoir le vaccin contre le COVID.
En plus, il faut noter que l’un des parents peut accompagner l’adolescent le jour de la vaccination en France. Si celui-ci compte s’y rendre seul, il doit présenter aux médecins son attestation d’autorisation réalisée par son parent ou son responsable légal pour la réception de l’injection. Toutes les personnes vaccinées bénéficient d’un entretien avec un médecin sur les lieux où la dose est administrée. Cela permet d’échanger, de poser toutes les questions nécessaires et de donner son consentement à l’oral. Retrouvez des conseils sur le site astuce-sante.fr.
L’administration d’une injection contre le COVID est plus encadrée chez les mineurs pour des raisons de santé. En effet, pour limiter les risques, ces injections se font uniquement dans des centres de vaccination. Ils ne peuvent pas se faire comme c’est le cas pour les adultes en pharmacie. Lors de la prise de rendez-vous sur un site internet, il est important de préciser l’âge du patient. Le plus souvent, il est noté « mineurs de 12 à 17 ans inclus ».
La partie administrative liée au vaccin contre le COVID chez les jeunes en France
Une fois la dose administrée contre le virus, il faut conserver quelques documents importants chez les adultes comme chez les mineurs dans son dossier de santé. L’adolescent reçoit une synthèse de vaccin et une attestation à télécharger sur le site de l’assurance maladie via attestation-vaccin.ameli.fr. Ces deux documents doivent être conservés après les injections. Il est aussi vivement conseillé si l’enfant possède un téléphone de télécharger l’application « tous anti-COVID » afin de pouvoir présenter facilement son QR code en France. Celui-ci permet l’accès à plusieurs lieux comme les centres commerciaux ou les restaurants.
Que faire si votre enfant a déjà eu le COVID en France ?
Votre enfant a été testé positif au virus il y a quelques semaines ou quelques mois. Les instructions classiques ont été correctement respectées : isolement, gestes barrières, test PCR avant et après sous les bons délais. La vaccination contre le virus reste totalement encouragée dans ce genre de situation pour des raisons de santé. En effet, le vaccin permet de limiter les formes graves et de limiter la propagation de la maladie, notamment aux personnes à risque. Il est donc vivement recommandé de recevoir une injection. Néanmoins, quelques informations sont à connaître avant de prendre son rendez-vous pour limiter les risques.
Dans un premier temps, il faut attendre deux mois après la preuve de la contamination au virus. Le plus souvent, la preuve se rapporte avec le document du test PCR positif. En plus, il faut savoir que l’adolescent reçoit simplement une seule dose lors de sa vaccination et non deux comme le reste de la population puisqu’il a déjà développé des anticorps lors de sa lutte contre la maladie. Retrouvez des détails concernant ces formalités sur le site service-public.fr. Le test PCR positif permet aussi de valider au médecin le parcours complet lors de l’injection. En définitive, il est important de se renseigner sur les mesures liées au vaccin chez les adolescents pour lutter contre le virus COVID et limiter les risques en France.